
Assise dans son fauteil,elle regardait la télévision en caressant son chien,assit par terre. Soudain elle entendit un bruit. Celà ressemblait à des gouttes qui tombent d'un lavabo. Alors la veille femme se leva et alla voir dans la salle de bain du bas,là où elle c'était lavé le soir même. Aprés avoir vérifié que le lavabo ne coulait pas elle retourna s'asseoir et n'entendit plus rien,son chien lui remit à lui lecher la main. A peine 5 minutes plus tard le bruit recommanca.
La vieille dame esseya d'ignorer ce bruit mais celui çi s'intensifia,l'agaçant de plus en plus. Elle se releva donc et alla voir dans la salle de bain du haut qu'elle n'utilisait presque jamais. Aprés avoir vérifié que le deuxiéme lavabo ne coulait pas elle vérifia également celui de la cuisine.
Pour la deuxiéme fois elle se réinstalla dans son fauteil,attendit quelques secondes,n'entendant plus rien,elle se remit a caresser son chien qui lui lecher la main et se reconcentra sur la télé. C'était l'heure du journal télé qui annoncé qu'aujourd'hui,le 31 octobre,des horreurs c'étaient passés toutes la journées.
Agressions,meutres plus terrfiants les uns que les autres,échappes de malfrats des prisons et de fous des hopitaux psychiatriques,bref une journée d'horreur pour la police. Cependant la vielle femme n'avait pas peur car son manoir était trés retiré,son chien la protégerait en cas de besoin et sa porte était bien fermée,elle le savait. Mais aprés quelques minutes le bruit recommença. Très agacé,elle se releva et se mit à suivre le bruit. Elle le conduisit dans la première salle de bain mais ce n'était pas le lavabo qui coulait. Le bruit venait de derrière le rideau de douche dont la vieille dame ne se servait jamais.
Alors,avec prudence,elle tira le rideau et voici ce qu'elle vit:
Sur le mur de la douche,en lettres de couleur rouge sang était marqué: "Qu'est ce que tu caressais et qui te léchais la main vieille dame ?"
...Fin ?
et sa salle de jeux ce trouvait dans le sous sol,on ce fesais ch*er et le premier jeux auquel on a joué c'etait de telephoner au pif à des gens et jouer avec eux.
Là on tombe sur un mec qui nous fait grave flipper et qui ce prête a notre jeux en faisant des bruits grave flippants et nous dit des trucs de fou du genre attention j'ai votre numero,je peux deviné ou vous êtes,je vais venir et je vais vous tuer blabla... Et il nous sors notre numero de telephone quoi ! Là on panique (normal on est des gamines) et on raccroche. Le téléphone sonne encore et encore,il laisse des messages sur le repondeur et le mec nous sors des trucs comme quoi aprés nous avoir tués il va jouer avec nos cadavre et nous raconte comme il va tuer chacunes de nous. Bref on rigole ,mais jaune... Ca rappel,je decroche et il me dit 'je suis devant chez vous',bing je raccorche et on entend frappé a la porte violement !
On etein tout et on s'enferme les chiens aboient,ça continu de frappé et le tel continue de sonner,c'est la panique dans la soiré filles ! Et la je me rend compte que nous aussi on voit sont numero apparaitre sur le tel de ma copine alors je decide de rapeller aussi et lui dire de nous foutre la paix,la ça sonne et sa me dit votre numero n'est pas bon blabla... On va sur le minitel (à lepoque,lol) page blanche et on cherche ou habite ce mec ! Et la surprise: ma copine me dit merde c'est juste chez mon voisn d'a coté ! La je lui dit vient on va le voir on lui dit pardon et voila et là elle me dit non c'est pas possible il est mort y'a 2 semaine !
On a plus jamais joué à ce jeu...
Le problème est que nous avions oublié de prendre de quoi faire un feu de bois. On avait du bois, quelques allumettes, pas de papier et du wiski. On a alors essayé de faire du feu en mettant au milieu de quelques pierres, des feuilles d'arbres séchées trouvées dans la forêt à droite ou à gauche, quelques bouts de bois bien secs. N'ayant que peu d'allumettes nous nous sommes essayé à allumer le feu en mettant du wiski sur les feuilles pensant que cela ferait comme de l'essence. Manque de chance, pour pouvoir avoir un feu qui s'allume avec de l'alcool, il faut que les vapeurs d'alcool s'enflamment, et pour avoir des vapeurs d'alcool il faut que l'alcool chauffe. Donc nous nous sommes trouvés sans feu.
Etant malgré tout 4 grands gaillards, ce qui nous dérangeait le plus n'était pas que nous nous retrouvions à manger froid, mais plutôt l'éventualité de passer la nuit dans une forêt sans feu pour éloigner les bêtes sauvages. Nous n'avions pas le choix, il allait falloir dormir dans nos tentes, sans un bon feu qui allait nous réconforter.
Comme un fait exprès, la lune était en début de quartier, on n'avait pas une belle lune pleine qui aurait pu nous aider à nous rassurer dans la pénombre. Malgré le peu de lumière, nos yeux arrivaient à s'adapter, et ainsi nous arrivions à deviner dans la pénombre, au début seulement les arbres non loin de nous, mais avec le temps aussi les montagnes chauves asséchées par plusieurs étés arides successifs.
On était alors comme 4 cons, en train de manger dans nos gamelles un plat froid, n'arrivant pas à trouver un sujet de conversation. On aurait pu entendre une mouche volée, encore aurait-il fallu qu'elle ose s'aventurer dans le coin. On n'entendait pas de mouche, mais un bruit bizarre commençait à être de plus en plus présent. On n'entendait comme une voix synthétique mêlée à celle d'une hyène, qui émettait un bruit ressemblant à un rire maléfique.
Chacun d'entre nous essayait de faire comme si on n'entendait pas ce son plus qu'étrange. Mais plus le son semblait se rapprocher, plus je me retrouvais a avoir des perles de sueurs qui coulaient le long de mon dos, alors qu'il ne faisait pas réellement chaud. Je voyais dans la nuit à peine éclairée par ce bout de lune, le visage de mes copains qui semblaient avoir les yeux de plus en plus grand, et des sourires de plus en plus effacés.
Le plus inquiétant fut quand le rire étrange se tue. On n'osait plus trop bouger, comme tétanisés, on pensait tous sans se le dire, que bouger était un appel au meurtre, que l'animal, que la chose, que ça allait se rapprocher de celui qui bougerait. J'avais pour ma part mon coeur qui s'accélérait. Je me disais que cette idée d'excursion n'était pas si bonne après tout, et que même si j'aimais beaucoup mes potes, j'aurais préféré qu'ils soient ici sans moi.
J'entendais alors derrière moi, comme un pas sourd... un pas lent et sourd. Ce pas était lourd, j'imaginais sans peine le pas d'un éléphant. Mais le rire de tout à l'heure n'était pas un éléphant. Tout à coup, j'ai senti dans mon coup comme la piqûre d'une brindille. Qui cela pouvait être, mes potes, tous les trois étaient face à moi, cela ne pouvait pas être eux. J'arrivais à voir que de leurs yeux ils me dévisageaient, ou plutôt dévisageaient un truc derrière moi. Je voyais leur bouche s'ouvrir de plus en plus, sans qu'un son n'en sorte.
Et là à ce moment je sentis sur mon épaule se poser comme une main, je n'osais pas tourner mon visage pour voir ce qu'il y avait sur mon épaule. J'avais peur. Je commençais à trembler, je pris une longue respiration, et je me décida enfin à tourner la tête. Je vis d'abord des ongles, longs, noirs, entre la griffe et l'ongle pour être plus précis. Je vis des doigts poilus, puis une main, et à ce moment là... je me suis réveillé en gueulant dans ma chambre...
-Pourquoi c'est tout le temps elle qui a tout et pas moi ? Vous l'aimez plus que moi ! Et court dans sa chambre. C'est l'heure d'aller au lit,leur mere ramene Amelia au lit et lui lit une histoire,lui fait un bisou et lui dit bonne nuit. Plus tard dans la nuit Amelie va dans la cuisine chercher un couteau de cuisine,marche doucement et s'avance jusqu'a la porte d'Amelia. Elle la poignarde en plein coeur, Amelia pousse alors un cri et leurs parents arrivent,voient le couteau dans la main d'Amelie alors qu'Amelia est par terre,le sang coulant. Leurs parents regardent Amelie est ne la reconnaisse plus. Amelie fait un petit sourire de criminel et les parents l'envoient dans un hopital psycatrique mais aujourd'hui l'hopitale a fermer, car il y avait beaucoup trop de meurtres,sans doute commient par Amelie qui se sentait abandonner par ses parents. Vous voyaient a quel point l'humain peut etre cruel...Cette histoire a à tout jamais marqué les parents des jumelles...
--> 10 chiffres !
Le lendemain après midi on papoter dans le salon quand on voit une ombre super bizarre se rapprocher de nous la on re-crie "AHHHHHH !!!" et on se barre en courant dans ma chambre où on se planque sous la couette.
Une demie heure plus tard la radio se mets en marche toute seule : grosse frayeur !!!
Donc on décide de se munir de balais et de se déplacer avec la couette sur nous.
Puis le soir mon père me demande d'aller chercher un melon au jardin (c'était l'été), et j'y vais puis d'un coup j'entends un bruit donc je détale à 100 km/h ! Puis tout ces trucs on durait 3 jours...
De simples coïncidences ou plus ? Le mystère reste entier ...
Et moi je regarde plus de films d'horreur !
Tout de suite, une vieille grand-mère lui répondit. Quand cette dernière regarda la petite, elle se dit: « Mon dieu qu'elle est pâle et ses yeux ont un reflet rouge, c'est effrayant ». La grand-mère demanda à la fillette si elle avait faim ou soif. La petite fille ne répondit pas et alla s'asseoir dans la maison au bord de la table. La vieille comprit que la réponse était oui, alors elle lui donna un verre de lait et quelques petits biscuits. Ensuite la grand-mère lui demanda si elle voulait bien dormir dans la chambre à l'étage, la petite monta se coucher sans lui répondre encore.
Le lendemain, la vaisselle était faite et le lit aussi. La fille n'était plus là. La dame était quelque peu triste et déçue. La soirée venue, la petite fille revient et fit la même chose que le premier soir:mangea, bu et alla dormir. Le lendemain matin la vaisselle est lavée, et le lit de la chambre à l'étage est fait. La grand-mère est douteuse. Le soir, elle mangea, bu son joli verre de lait et alla dormir. La vieille barra la porte de la chambre où dormait la fillette et elle était sûre de son plan car il n'y avait pas de fenêtre dans cette chambre et la petite ne pourrait pas sortir. Le matin vint et la fille n'était plus là. La dame commençait à avoir peur. Le soir, même chose que les soirs précédents.
La vieille dame barra la porte de nouveau mais elle la surveillait. Encore un matin sans trace de cette fillette. La grand-mère alla prendre un verre de lait et des biscuits mais il n'y en avait plus alors elle alla au magasin pour en acheter d'autres. En prenant la boîte de lait il y était inscrit: « Voici la photo de la fillette portée disparue et morte depuis 300 ans ». La dame se dit que la photo ressemblait beaucoup à la petite fille qui venait toutes les nuits chez elle. En rentrant, la vieille grand-mère demanda à la fille : «P'tite fille, es-tu morte? »
-OUIIII
--> 20 chiffres !
Quelques jours plus tard, Célia et sa cousine allèrent chez des amies à elles et dans la chambre elles se racontairent des histoire d'horreur. Puis, par la fenêtre, elles aperçurent la tête de l'homme au crane brulé ! Elle crièrent et la mère d'une de ses copine arriva et ferma les volets. Quelques minutes plus tard, elle entendirent quelqu'un gratter les volets comme avec des griffes.
Elle ne sait toujours pas qui était ce ni pourquoi cet homme et venus deux fois, mais cette histoire et vrai et je n'ai pas dormis le soir ou elle me la raconter !
Quelques minutes plus tard,le courant était revenu et les soeurs étaient enfin rassurée grâce à la lumière,elles se mirent a courir vers le téléphone pour appeler leurs parents. Mais au lieu d'entendre la voix rassurante de leur père ou de leur mère,les soeurs entendirent la voix de la petite fille dans le téléphone. "Je sais où vous trouver,je sais ce que vous m'avez fait..." La phrase à peine finit, les soeurs se mirent a crier de terreur. Elles allèrent alors se réfugier dans la chambre de leur parents. Elles finirent par s'endormirent et elles furent réveillées par leur mère. Les jours passèrent et un soir, lors d'un journal télévisé,un reportage passa et disait qu'il y avait une ancienne légende qui racontait l'histoire terrible d'une famille tuée par "quelqu'un" ou "quelque chose" et l'adresse de cette famille n'était autre que l'adresse de la maison des deux soeurs... Après le journal télévisé, les soeur suplièrent leur parents de déménager mais les parents refusèrent. Quelques jours plus tard le même drame qui était arrivé a l'ancienne famille arriva dans la famille des 2 soeurs... Cette "personne" ou cette "chose" avait encore frappée...
Fin...?
-Madame Dupuis... C'est Margot, la babysitter... Il y a un énorme souci, je vous en supplie revenez... Emilie.. Emilie... Ne bouge plus et...Il y a eu un homme ave. Un couteau devant la fenetre.
La femme la rassure en riant:
-Tu as regardé trop de films ce soir Margot... Emilie doit être endormie. Et tu n'as pas pu voir un homme devant la fenêtre ! Il n'y a pas de fenêtes dans la chambre d'Emilke. Juste des miroirs
x-cocinelle-laura-x, Posté le mercredi 10 février 2016 16:42
Eh biens si je le fais pas tous les jours et tous de suite et biens j'en ai une bonne cinquantaine a valider dés que je me reconnecte donc voila souvent j'en fais un peu mais pas tous et du coup je réponds 100 ans aprés
>Même chose pour moi c'est pour ça que j'essaye de me connecter souvent :)
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Ah ok tu me comprends alors